.....296. On place dans cette chaudière, garnie comme nous venons de le dire, et déjà prête à bouillir, pour six milliers de papier, environ cinq cents livres de brochette ou de retailles propres à former la colle (§. 312) ; on les fait cuire à petit feu, sans laisser bouillir l'eau ; on a soin seulement de l'entretenir toujours frémissante et.....
.....s deux cents pintes de colle qui sont dans le mouilloir, peuvent coller environ quinze à seize rames de la couronne ou des sortes de papier qui pèsent environ treize à quatorze livres la rame, et seulement six rames du papier au grand raisin, qui pèse trente-deux livres. A l'égard du poids de la brochette, on le règle à la dixième partie de c.....
.....340. On lisse à la main le papier qui pèse moins de dix-huit livres la rame. Les lisseuses debout, tiennent à la main une pierre qu'on nomme lissoir, et qui pour l'ordinaire est un caillou, c'est-à-dire, une pierre à fusil (silex), ou une pierre noire, dure et vitrifiable comme le silex, de trois ou six pouces de long sur deux et demi de large et un pouce d'épaisseur. La base est taillée en chanfr.....
.....rts de feuilles se mettent par cahiers, et forment lepapier à poulet. 367. Les quarts de feuilles, quoique défectueux, se vendent encore aux épiciers vingt à vingt-cinq livres le quintal, pour faire de petits sacs. Enfin on refond ce qui est absolument hors d'état de servir. 368. Pour refondre du cassé, on commence par le mettre tremper dans une cuve d'e.....
.....ui qu'ils tirent de France, leur revient à plus de 38 liv. le quintal, monnaie de France, à moins qu'il ne passe en contrebande ; et puisqu'il ne vaut en France que huit à neuf livres, il est évident que la France pourrait avec avantage retirer à elle cette branche de commerce, si l'émulation et la persévérance des particuliers pouvait une fo.....
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